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AIDE AGRONOMIQUE POUR L’ASIE DU SUD

COTE EST DU SRI LANKA
Provinces de : Trincomalee, Batticoloa, et Ampara

AVRIL 2005

1 SITUATION ACTUELLE EN ASIE DU SUD

Les dégâts humains et financiers occasionnés fin décembre 2004 par le raz de marée qui a ravagé les côtes de l’Océan indien et du Golfe du Bengale est sans précédent.
L’Indonésie, la Thaïlande, Sri Lanka compte parmi les pays dont les bordures côtières sont particulièrement dévastées.
Il en résulte des milliers de morts, de blessés, de personnes choquées, déplacés et sans logis, des compétences sans outils de travail ainsi que toute une infrastructure totalement bouleversée.

Plusieurs milliers de personnes se sont déplacées des zones littorales pour se réfugier plus à l’intérieur des terres. L’aide internationale a semble-t-il été au rendez-vous, pour couvrir l’urgence des besoins immédiats.

Néanmoins, il faut désormais lancer des actions à court et à moyen terme pour permettre aux populations de retrouver des moyens de subsistance localement, et pour faciliter la reconstruction de ces zones.
La remise en place de toutes les infrastructures sera difficile,
Une priorité doit être donnée à l’assainissement et à l’accès à l’eau potable,
Le redémarrage de l’activité de Pêche devra se faire au rythme du retour de la faune marine, et de la reconstruction des bateaux, mais nécessite que les compétences en construction marine et en pêche soit préservée dans tous les villages côtiers.
Il est nécessaire d’appuyer le retour des populations par la mise en place de moyens de subsistances nutritionnelles notamment par la relance de la petite agriculture de proximité jardins familiaux et petits maraîchages, et la mise en place de procédures pour diminuer le niveau de salinité des sols. Ce retour à l’agriculture ne pourra être que long et progressif.
Des accompagnements dans l’éducation et la santé doivent permettre de consolider un processus de redémarrage économique

Agro Sans Frontière propose son appui technique pour un projet agronomique d’envergure, bâti pour une partie suivant les mêmes principes que celui réalisé au Honduras et au Nicaragua.
Par ailleurs, les premières estimations nous amènent à penser qu’il y a une urgence à court terme pour l’approvisionnement en semences végétales. C’est la raison pour laquelle, l’action que nous proposons est directement liée aux semences à cycle cours de production, notamment les semences potagères.

2 LES LIEUX D’ACTION

Deux types d’approches sont à concevoir car il faut prendre en compte les zones littorales et les zones situées à l’intérieur des terres, où des populations côtières se sont réfugiées et surtout prendre en compte l’état des sols qui impliquera nécessairement une mise en valeur (notamment désalinisation pour certaines zones).

Les zones littorales : ces zones concernent les zones traditionnelle de pêche. On peut penser qu’inévitablement elles seront à nouveau réoccupées par les familles de pêcheurs. C’est la raison pour laquelle des actions doivent être entreprises sur ces zones, compte tenu que les bateaux ont été pour la plupart détruits ou sont très endommagés, que d’autre part la ressource de Pêche côtière semble avoir disparue. Mais il est néanmoins essentiel de garder en proximité côtière des ressources humaines et des compétences pour la construction de bateaux, et les techniques de Pêche.
Il nous semble donc judicieux d’accompagner ces populations dans la création de métiers alternatifs dans l’attente d’une remise a niveau de l’outil et de la ressource de la pêche
Une de ces alternatives peut passer par la constitution de jardins familiaux ou communautaires pour apporter à la population une complémentarité nutritionnelle et leur donner des moyens de reconstruire une activité. Sur cette zone nous pourrons travailler en collaboration avec les associations de Pêcheurs et femmes de pêcheurs ainsi q’avec les ONG françaises ou autres qui souhaiteraient appuyer leur action technique de reconstruction marine, par un apport nutritionnel aux populations.

Les zones situées à l’intérieur des terres : une grande partie de la population qui a déserté le littoral ne reviendra pas sur les zones côtières. La peur, le souvenir de la violence du tsunami resteront longtemps présents dans leur esprit. Il faut donc prévoir le plus rapidement possible la mise en état des terres pour la création de zones maraîchères qui faciliteront les implantations de nouveaux villages sur les zones de réfugiés.

AGRO SANS FRONTIERE peut accompagner des projets d’assistance auprès de l’ensemble des ONG, notamment celles qui interviennent auprès de familles de pêcheurs pour apporter des solutions nutritionnelles aux familles par une assistance a la reconstruction d’une agriculture péri urbaine (petit maraîchage) et de jardins familiaux, sur les trois provinces de la Côte Est du Sri Lanka,

Cependant AGRO SANS FRONTIERE considère qu’il est opportun, pour faciliter les mises à disposition de financements de projets, tant au niveau de l’Etat que de l’Europe, de conforter les actions sur la province et la ville de Trincomalee, compte tenu que cette région a été proposée par le gouvernement du Sri Lanka comme zone privilégiée pour les actions françaises.

Le projet technique d’AGRO SANS FRONTIERE se développerait alors en trois phases, avec dans un premier temps une étude préalable, et en fin de projet, une évaluation et étude d’impact.

 

3 PROPOSITION D’AIDE : « SEMENCES POUR L’ASIE »

Le développement du jardin familial,
Une réponse aux urgences nutritionnelles

ACTION 1 :

L’APPORT DE SEMENCES POTAGERES ADAPTEES AUX CONDITIONS CLIMATIQUES, EN VUE DE LA MISE EN PLACE DE JARDINS FAMILIAUX ET COMMUNAUTAIRES

Les Semences
L’aide d’urgence permettrait de mettre des semences potagères à disposition des acteurs locaux du développement, que sont les ONG locales ou internationales pour faciliter la reconstruction des jardins et zones de petits maraîchages, sur les zones côtières et les camps de réfugiés.

Elle aurait pour avantage d’apporter des éléments nutritionnels équilibrés, à une population rurale très majoritairement et habituellement malnutrie, notamment les enfants, et particulièrement démunie suite à la destruction des infrastructures et au saccage des zones agricoles littorales.

C’est pour cette raison, comme « Agro Sans Frontière » l’a fait au Honduras et Nicaragua, avec un collectif associatif, quelques semaines après le Cyclone MITCH, que nous proposons de répondre aux besoins des populations touchées.

L’urgence, à reconstruire les jardins et petites zones maraîchères, à distribuer des semences adaptées aux besoins locaux et répondant aux exigences du climat tropical, est une des préoccupations essentielles à la remise en marche de l’économie.

Pour permettre la meilleure efficacité dans le meilleur délai en réponse à cette urgence, il faut que nous puissions agir le plus rapidement possible, car la mise en place du processus nécessite quelques semaines pour être opérationnelle.

La mise en place de l’organisation passe par la sélection de semences adaptées aux conditions climatiques tropicales, leur préparation, leur conditionnement, l’envoi et la distribution sur place. Ces semences sont non hybrides, non OGM pour ne pas, sous prétexte d’intervenir en urgence, mettre cette zone sous une dépendance semencière.

Les espèces végétales mises à dispositions seront :
• de cycle court ;
• des légumes feuilles notamment amarante, moutarde, choux chinois ;
• des légumes fruits : notamment tomates, piments, aubergine, concombre, gombo ;
• des légumes sucrés notamment melons, pastèques.

Ce processus ne donnera pas pour autant de la nourriture aux populations locales, il faudra encore attendre un délai minimum de 6 semaines après semis pour envisager les premières récoltes de légumes. Ensuite le processus de culture se développera naturellement au rythme de la nature, et de la continuité des mises en cultures, d’où la nécessité d’une sensibilisation et d’un accompagnement pour assurer le développement durable et raisonné des cultures.
Ceci peut se faire par les spécialistes en agronomie, cet accompagnement sera assuré par les experts d’Agro Sans Frontière.

Par ordre alphabétique nous aurons les espèces suivantes :

Légumes fruit - Légumes feuilles - Légumes racine (nombre de sachets et poids du sachet par variété)
- 3 Amarante « princesse » en 1 g
3 planches d'Epinards produisant au bout de 3 semaines. Puis auto reproduction.
- 1 Aubergine « black beauty » en 1 g : plus de 50 pieds produisant après 3 mois et récoltés durant plus de 3 mois.
- 3 Betteraves « Rouge d'Egypte » en 7 g : 3 planches de racines sucrées à manger crues ou cuites après 6 semaines de culture, les feuilles servent d'épinard.
- 2 Carottes « Flakkee » et « Kuroda » en 2 g : 2 parcelles produisant une centaine de carottes
- 2 Choux « marché de Copenhague » en 3 g : 2 parcelles produisant une centaine de choux
- 2 Choux « chinois » en 3 g : 2 parcelles produisant une centaine de choux en alternance avec Copenhague
- 4 Concombres « Marketter » en 3 g : 4 parcelles produisant 200 fruits à chaque culture d'une durée de 8 à 10 semaines
- 2 Gombos en 10 g : 2 parcelles produisant au bout de 6 semaines et durant 2 à 3 mois.
- 1 Melon « Galia » en 3 g : une parcelle produisant 50 à 80 melons en 10 à 14 semaines. Les semences sont facilement reprises à la récolte.
- 1 Moutarde en 3 g : produisant au bout de 4 semaines des feuilles remplaçant les choux
- 2 Navets « Jaune boule d'or » : 2 parcelles produisant une centaine de navets
- 2 Pastèques « crimson sweet » : une parcelle produisant 50 à 60 fruits en 12 à 18 semaines
- 1 Poivron « california wonder » : une parcelle produisant 30 kg de fruit en 4 mois
- 3 Radis de 18 jours : 3 parcelles produisant 300 radis en 3 à 4 semaines (la plante entière est consommée : racine/crudité et feuilles/soupe)
- 1 Radis « noir » : une parcelle idem 18 j mais durée de culture et de récolte plus longue, productivité plus élevée.
- 1 Tomate « rio grande » : type petit fruit nouant bien à haute température. La tomate est demandée, mais la culture difficile en bord de mer.

Condiments
- 1 Céléri « à couper » en 1 g
- 1 Ciboulette « chinoise » en 1g
- 1 Ciboule « blanche » en 1 g
- 1 Coriandre en 1 g
- 1 Persil commun en 1 g
- 1 Roquette en 1 g

Cet assortiment de 36 sachets serait logé dans un petit carton.
Prix de chaque carton : 10 euros (prix départ)

Chaque carton permet, à une famille de 5 à 6 personnes, de cultiver un jardin potager qui lui permettra de se nourrir pendant un an.
Soit un financement de 2 euros par personne / an

Pour éviter le recours a des usages de pesticides et préserver les cultures d’une trop importante évaporation (cette partie du Sri Lanka à un niveau de pluviométrie faible et des périodes importantes de manque hydrique)

Il pourrait être fournit des protections mécaniques contre les nuisibles soit un voile de germination et de protection de culture et l’adjonction de goutte à goutte adaptés aux petites cultures.

Cette première aide est considérée comme un processus d’urgence, qui est une première phase du projet de revalorisation du jardin familial ou communautaire et du petit maraîchage rural.

Le descriptif des espèces retenues :
A court terme 5000 exemplaires avec un réassortiment en 10000 kits peuvent être réalisé. Ce dispositif inclus des catalogues de préconisations de cultures et une affichette, en anglais.

On pourrait y adjoindre 10000 nappes de germination (facteur de réussite des pépinières, et succédané de paillage indisponibles suite à la disparition de cultures vivrières (riz, blé, mais), le prix estimé est de 1 euros /pièce

 

Le Jardin familial, un outil de solidarité et de développement

ACTION 2 :

APPUI TECHNIQUE AGRONOMIQUE POUR LA GESTION DES CULTURES ET UNE ORGANISATION DURABLE, DE PROXIMITE PERMETTANT UNE RESOCIALISATION DES POPULATIONS

La seconde phase correspond au développement durable et à la consolidation des processus. Les deux phases sont indissociables car la seconde phase permet de consolider le développement de la première, qui est celle de l’aide d’urgence.

Nous proposons de regrouper les énergies solidaires afin d’établir un projet commun semblable à celui réalisé par « Agro Sans Frontière » au Honduras après le passage du cyclone MITCH.

La démarche repose sur la mobilisation du plus grand nombre d’acteurs agissant sur le plus grand nombre de zones rurales, en utilisant des méthodes adaptées à chaque contexte environnemental, et des outils communs.
Ce processus permet d’amplifier la dynamique de revalorisation de l’agriculture et des cultures, et permettra d’être une alternative aux déficit économique de la Pêche, jusqu’au retour a une situation d’équilibre.
Des productions agricoles permettant des apports en protéines végétales pourraient se substituer pour un certain temps au manque de ressources piscicoles.
Il ne peut être envisagé des élevages d’animaux, un grand nombre d’habitants ne consommant pas de viande.

L’objectif prioritaire est :

Fournir à court terme, et durablement, de la nourriture de qualité aux familles pour favoriser le développement d’une économie locale villageoise, et acquérir une autonomie nutritionnelle.

Le contexte est sensiblement le même qu’au Honduras après le cyclone MITCH. L’environnement rural est déstructuré (agriculture et jardins familiaux ravagés et désordre foncier); la mise en place d’un plan d’urgence à la production de légumes doit permettre aux populations locales d’acquérir une autonomie économique, et de bénéficier d’une nourriture équilibrée.

Pour lutter contre la malnutrition (manque de nourriture et déséquilibre alimentaire) que seuls les légumes peuvent éliminer naturellement, d’où la préconisation d’un programme de développement des jardins familiaux, et de distribution de semences légumières.

Pour ce faire, et compte tenu du travail qui avait été réalisé avec des structures qui sont intervenues dans l’aide agricole au Honduras en 1999, notamment à la reconstruction des jardins familiaux, il a été proposé par plusieurs associations dont « Agro Sans Frontière » de relancer une mobilisation de tous les acteurs pour lancer une opération de même type dans les meilleurs délais.

Les semences de légumes sont un complément aux céréales et au riz fournis dans un premier temps par l’aide d’urgence internationale.
Il est nécessaire de lancer des cultures vivrières de grands champs pour apporter dans la plus courte échéance possible, les éléments végétaux qui apportent l’effet de satiété. Notamment des productions de haricots de soja.
Il peut être envisager, aussi, la production de pomme de terre, les plants seraient à planter courant septembre pour une récolte en Janvier Février 2006.

Le Jardin, un support pédagogique pour l’apprentissage agricole

ACTION 3 :

FORMATION AGRICOLE :

Création de centres pour l’apprentissage aux techniques agricoles :

L’objectif de la création est d’apporter une formation agricole en vue de donner les moyens techniques capables de pérenniser la production agricole.

La création de centres pour l’apprentissage agricole doit nous permettre d’atteindre cet objectif en donnant une compétente technique agricole adaptée aux besoins des zones concernées.

Pour cela, la formation prendra en compte aussi bien les besoins pour les adultes que la formation d’adolescents filles et garçons capables de participer au développement de leur communauté villageoise.

Objectif :

- Former au techniques agricoles des adultes qui n’ont plus de ressources, et pas de compétence agricole, et former des adolescents filles et garçons dont les parents exercent la profession de petit fermier et d’agriculteur, aux techniques de gestion de production agricole, et les sensibiliser au respect de l’environnement et à l’agriculture durable.

- Revaloriser le travail agricole auprès d’une population désorientée
- Inculquer aux jeunes les notions et des compétences de protection environnementale et de développement durable
- Vulgariser auprès de populations travaillant traditionnellement de la Pêche, des principes « Agro – Sylvio - Pastoral »
- Vulgariser des principes de Coopérative ou d’organisation d’économie sociale et solidaire, et d’artisanat rural

4 CONTACT EN COURS

Les Institutions :
Ambassade de France au SRI LANKA
Ambassade du SRI LANKA en France
La Région des Pays de la Loire
Le Conseil Général de Loire Atlantique
Ville de Nantes
Comité Nord
Université de Rennes

Les ONG Sri Lankaises
ORT Paris
L’ORT, ou TRO - Tamils Réhabilitation Organisation est une organisation officielle qui dont son siège à Kilinocchi et une représentation à Colombo et qui représentent les Tamouls en France.
Cette organisation a été proposée par une famille Sri Lankaise d’origine Tamoul en cours de naturalisation française qui vit et travaille à Nantes.

 

5 PREVISIONS BUDGETAIRES

Ces prévisions prennent en compte une zone de 100000 familles réfugiées, déplacées ou totalement démunies.

Elles se décomposent en quatre budgets distincts qui correspondent à chaque phase d’intervention.

Etude préalable

Intervention phase 1

Intervention Phase 2

Intervention Phase 3

Evaluation

Budget : Etude préalable

Déplacement - Frais pour 1 expert  10 joursAudit des Besoins et Qualification des interlocuteurs Etudes de faisabilité et Analyse organisationnelle Rapport et préconisations 3000
TOTAL 3000

,

Budget : Intervention phase 1

1 responsable de l’organisation du processus de distribution et de mise en culture (1mois) - Frais de déplacement et frais de vie pour 1 mois 4000
Première tranche d’intervention Préparation colisage de 5000 kits semences potagères (10 euros/kit) 50000
Voile de protection des semis, 1500
Système de goutte à goutte   300 équipements 40 euros l’unité 12000
Coût logistique kit semences potagères Pays de la Loire = 2500 kg 2500
TOTAL 70000

Budget : Intervention phase 2

1 Expert Agronome - Formateur - Evaluateur frais de déplacement et frais de vie pour 2 mois 7000
Deuxième tranche d’interventionPréparation de colisage 5000 kits semences potagères   (10 euros/kit) 50000
Achat de semences céréales et riz pour une population de 25000 habitants 10000
Achat de semences de variétés pour rétablir le PH du sol 10000
Achat d’intrants 10000
Coût logistique kit semences potagères Pays de la Loire = 2500 kg Coûts logistique semences céréales et riz   achat de 35 tonnes au Sri Lanka 25008000
TOTAL 97500

Budget : Intervention phase 3

1 expert Agronome Formateur EvaluateurFormation de formateurs et conseillers de culturesFrais de déplacement et frais de vie pour 6 mois 15000
Location de salle de formation 4000
Achat de matériels pédagogique 10000
Achats de petits équipements agricoles 12000
Location de terrains communautaires d’apprentissage 10 hectares  
Troisième tranche d’interventionPréparation de colisage 5000 kits semences potagères   (10 euros/kit) 50000
Formation à la sélection et production de semences vivrièresAchat de semences améliorées pour la multiplication 10000
Achats d’intrants pour l’amendement et le rééquilibrage du PH du sol 10000
TOTAL 111000

Budget : Evaluation

1 évaluateur économique social et technique - frais de déplacement et de vie 2000
Evaluation technique 1000
Evaluation environnementale 1000
Evaluation sociale 1000
Evaluation économique 1000
Evaluation de l’impact de l’action 1000
TOTAL 7000

Budget : Frais de Gestion

Frais administratif et de gestion 10000
TOTAL 10000

 

 

BUDGET CONSOLIDE DES DEPENSES, Sur 18 mois

 

Etudes Préalable 3000
Intervention Phase 1 70000
Intervention Phase 2 97500
Intervention Phase 3 111000
Evaluation 7000
Frais de gestion 10000
TOTAL 298500

PREVISIONS DE RECETTES BUDGETAIRES

Participation ASF Bureau National                                            fonds propres 10000
Fondation de France                                                                       demandé 60000
Entreprises                                                                      demande en cours 3000
Valorisation bénévole ASF                                                            estimation 3000
Fonds de solidarité                                          prévision 20% des productionscréation d’une Banque de Semences 50000
Fonds de micro finance                              retour sur financement d’un fondscréation d’une caisse micro finance sous forme de prêts semences 15000
Total 141000
Villes                                                                                                 
Départements  
Région Pays de la Loire  
Etat – MAE  
TOTAL 298500